Comment arrêter de fumer avec la cigarette électronique

S’il existe un moyen efficace et rentable de quitter une bonne fois pour toute la tige qui tue, c’est bien la cigarette électronique. Son homologue technologique, avec du eliquide à base de propylène glycol et de glycérine végétale accompagnée par des arômes en tout genre, synthétisés expressément pour créer la meilleure condition pour permettre un sevrage en douceur sans agressivité qui se termine par une nouvelle addiction tout aussi sensationnelle mais cette fois-ci sans danger !
Pour expliquer le processus de sevrage tabagique de la nicotine générée par le tabac, nous n’irons pas par quatre chemins. L’objectif étant d’expliquer en profondeur et d’une manière très logique le fonctionnement de l’e cigarette, afin de définitivement ne plus se rendre chez les buralistes pour acheter votre paquet de cigarettes mais pour un tout autre motif.
Le principal ennemi du fumeur c’est le tabac
Dès le début de l’addiction, c’est le tabac qui génère la nicotine nécessaire à la récompense du cerveau qui devient dépendant. Cette substance semble anodine au départ et propose même une certaine acuité cervicale (meilleure concentration, lucidité plus exprimée…) que l’on ressent durant sur sa première clope avant de nous asservir d’une façon très agressive.
Plus on s’habitue au tabac, plus le cerveau en redemande pour pouvoir fonctionner dans un état normal sans évasion. Cela explique les moments d’égarements lorsqu’on tente de se sevrer d’une façon sèche, mais cela ne fonctionne que très rarement. Plus de la moitié des fumeurs expriment ce sentiment incontrôlable de recherche de satisfaction créée par la nicotine et recherche une solution pour y mettre un terme et pour arrêter de fumer efficacement.
Beaucoup d’alternatives s’offrent, soit d’une manière psychique, médicamenteuse ou matérielle. Dès que la volonté de quitter le tabac se prononce chez les personnes qui fument, ils recherchent alors des solutions parmi celles proposées par la science ou par la force de la pensée. Certains y parviennent avec des patchs, des substituts et d’autres avec des manières plus drastiques et agressives soit une coupure nette et sèche avec l’environnement du tabac (souvent après une maladie ou apparition de symptômes). La réalité de ces pratiques révèle cependant un taux de réussite très maigre, car à partir d’un certain niveau de consommation, les fumeurs sont très attachés à la nicotine et en dehors d’une aide externe, la force de la pensée ne suffit quasiment pas.
La cigarette électronique comme substitut de premier choix
À travers les années de lutte qu’on aura pu concevoir pendant des décennies, aucune en particulière n’a pu déposséder avec efficacité les fumeurs en quête de rédemption. C’est en 2009 que la solution de l’accessoire constituant l’alter égo de la cigarette émerge dans la vente de cigarettes électroniques et fait tout de suite sensation en effaçant complètement les autres systèmes plus onéreux et plus périlleux.
L’ecig est tout de suite apprivoisé par les fumeurs pour l’arrêt du tabac. Il est technique, léger, design et fournit de la nicotine à dosage réglable selon le niveau de dépendance. Il se tient comme une cigarette et se fume (se vapote) également de la même façon avec un peu plus de personnalisation. La vapeur est plus ou moins dense en fonction de la combustion et de la résistance fournie, il s’accompagne d’arômes et le liquid tabac est facultatif, de quoi espérer une passation à la nature dans une voie simple et sans encombre. Bref, il est plus qu’une cigarette et agit vers l’indépendance de sa cigarette et des produits du tabac cancérigènes et nocifs pour l’individu et son entourage. La vap n’apporte aucun danger quant au vapotage passif par inhalation, dans les lieux publics ou privés.
Comment la cigarette électronique restreint l’addiction à la nicotine
Pour arrêter la cigarette, il y a un commencement et une fin. Tout se passe en douceur et selon la voie choisie par le vapoteur. L’intelligence de l’appareil repose sur une modulation très adaptable de ses paramètres afin de fournir un confort total qui fait vite rappeler que vapoter, ce n’est pas fumer, mais bien plus.
Tout commence par le choix de l’accessoire, on en trouve une bonne vingtaine de catégories actuellement avec des configurations différentes, conçus pour chaque type de vapoteur. Les trois grandes lignes du marché se résument aux clearomiseurs, aux atomiseurs et aux drippers. Le reste c’est une question de goût et de passion. Cette marge de manœuvre permet une évolution constante et libérale dans le sens où la vape ne se centre pas sur une simple mission de sevrage mais constitue un véritable monde de découverte.
Aussi, c’est à partir des ingrédients du liquide que le fumeur-vapoteur pourra choisir son mode de consommation. Soit avec des arômes plus doux et légers, menthe fraiche, menthe glacial, plaisirs gourmands, menthol, accompagnée d’une dose de nicotine dégressive, soit avec des bases neutres sans arômes ou au gout tabac, tabac blond, tabac brun, pour l’accommoder directement.
La meilleure solution dépend de l’addiction du fumeur, s’il est un consommateur de haut niveau (tabagisme élevé) avec une habitude de plus de 20 cigarettes par jour, la puissance devra se conformer à cette dépendance, soit par un dosage maximum de nicotine (pas plus de 19.9 mg) avec des arômes-tabacs sans goûts trop prononcés. Par contre l’addiction se gère plus facilement et plus rapidement sur des sujets moins exposés (consommation inférieure à 10 cigarettes par jour). Les arômes peuvent être plus accentués et le remplacement de l’addiction par la vape est aisé.
Il faut par ailleurs tenir compte du niveau réel de consommation de la nicotine parce que le suivi se fera subjectivement et bon nombre de vapoteurs se sont remis à la cigarette du fait de la mauvaise gestion de ce dosage et du manque considérable nicotinique. Effectivement, si l’objectif étant une limitation progressive de la nicotine à l’avantage des arômes et additifs, le contraire peut également se produire. Il faut alors garder en tête cette mission et faire de l’accessoire le petit objet de plaisir tout en se déplaçant vers une indépendance totale vis-à-vis des effets psychoactifs que peut présenter la substance.
Quitter la cigarette et entrer vers la vape, l’étape ultime
Comme on l’a dit en amont, la cigarette électronique présente une double particularité. Premièrement, elle sert de focalisateur de nicotine qui permet au fumeur de s’habituer à ce nouveau genre, et deuxièmement, elle constitue un accessoire de distraction et de détente sans effets addictifs ou psychoactifs. A partir du moment où le tabac ne constitue plus l’objet de la vape, les choses sérieuses commencent et il n’est pas rare qu’une nouvelle passion se focalise autour de la cigarette électronique. Dans le monde entier, on retrouve les pros vapoteurs qui s’investissent à fond dans cette nouvelle aventure qui offre d’ailleurs une multitude de plaisirs depuis le bricolage des accessoires jusqu’à la confection des e-liquides.