Cigaverte : des franchisés différents, la même success story
Depuis 2010, le réseau Cigaverte est en croissance constante et compte aujourd’hui 46 points de vente en Métropole, DOM-TOM, Belgique et Afrique. Pour mieux comprendre le succès du réseau, nous sommes partis à la rencontre de trois franchisés aux profils variés, mais animés par la même passion de la vape.
L’expérimenté
Erik David
Quel est ton parcours ?
Auparavant, j’étais déjà dans le commerce. J’étais concepteur-vendeur d’aménagement d’intérieur. J’ai travaillé sous enseigne en France et à l’étranger, Schmidt pour ne pas les nommer. J’y ai appris la gestion d’entreprise, la gestion de personnel. J’ai vendu mon magasin en 2014, un an après avoir arrêté de fumer, et j’ai ouvert ma première boutique Cigaverte. J’adore le commerce et le management et, aujourd’hui, j’ai cinq points de vente, une dizaine de salariés.
Quels sont les avantages de la franchise ?
Moi, mon métier c’est la vente et le service aux consommateurs. Dans mon fonctionnement, tout ce que je ne sais pas faire ou que je n’aime pas faire, je laisse à la franchise : sourcer les produits, créer un catalogue cohérent et négocier les achats. Cigaverte le fait très bien, je peux compter sur eux.
Comment envisages-tu l’avenir ?
Le sixième magasin est dans les tuyaux et devrait ouvrir début 2020. Mes magasins et la franchise vont grandir. Je compte continuer avec Cigaverte pendant de nombreuses années. Personnellement, mon objectif c’est d’arriver à 10 magasins pour bien mailler mon secteur, l’Isère, avec des points de vente de proximité de manière à ce que les gens viennent dans le centre-ville et non plus dans les centres commerciaux.
Le passionné
Damien Bourgeois
Quel est ton parcours ?
Je suis un des plus anciens vapoteurs de France (sourire), j’ai acheté mon premier kit en novembre 2007, j’ai été aussi modérateur sur le grand forum. J’étais commercial sur les routes dans les pièces automobiles. Au bout de 12 ans, le métier a commencé à me lasser, je voulais faire quelque chose de plus sédentaire. Je connaissais Stéphane d’Elia, le fondateur de Cigaverte, que j’avais rencontré lors d’un vapéro et je l’ai appelé pour lui demander des conseils concernant le choix des liquides. Là, il me demande si je veux être franchisé. Il m’a invité chez lui, il m’a présenté le projet et j’ai trouvé ça intéressant. Aujourd’hui, j’ai deux boutiques.
Quels sont les avantages de la franchise ?
Comme c’était un premier projet entrepreneurial pour moi, j’étais bien conscient de la difficulté à le gérer tout seul. J’aime le fait que tout soit centralisé au niveau des commandes, je n’ai qu’un seul fournisseur, je ne m’occupe pas du réapprovisionnement, j’ai simplement à commander chez Cigaverte. Ça m’a aussi aidé à rassurer les banques. Nous sommes aidés par un animateur réseau, qui visite les magasins et qui conseille sur les points à améliorer, des aspects qu’on ne voit plus quand on est dans la vente tous les jours. Comme ça, je peux me consacrer au conseil client et à la vente. D’autant que les redevances ne sont pas excessives, donc c’est tout bénéfice.
Comment envisages-tu l’avenir ?
Je vais continuer à m’étendre. D’ici un an, j’espère ouvrir un troisième point de vente en Savoie, où je vis désormais. Mais je ne suis pas pressé, j’ai appris que pour ouvrir un magasin il faut trouver un bon emplacement.
L’entrepreneur
Sébastien Beauchet
Quel est ton parcours ?
Avant d’ouvrir mes points de vente Cigaverte, j’étais directeur de région pour une société qui vendait des cabines photos et j’ai aussi travaillé pour une entreprise qui faisait du marquage textile. J’étais lassé de faire 80 000 km par an en voiture. Très gros fumeur, j’ai testé la cigarette électronique fin 2011 et je ne fumais plus au bout de 10 jours. Bluffé, j’ai contacté Stéphane d’Elia via un ami pour lui proposer de créer un point de vente franchisé. Le courant est bien passé mais je voulais tester le marché avant d’investir dans une boutique. J’ai démarché des médecins, des comités d’entreprise. J’ai vite été débordé et j’ai ouvert ma première boutique à Blois, en novembre 2012. Aujourd’hui, je possède quatre points de vente en région Centre.
Quels sont les avantages de la franchise ?
Les conditions de Cigaverte sont très raisonnables. Une partie des nouveaux produits est choisie de façon collégiale, c’est beaucoup plus simple. Sans ça, il me faudrait une personne à temps plein pour scruter et tester les nouveautés. Le réseau a aussi beaucoup plus de poids en termes de négociation avec les fournisseurs. Nous avons accès à de nombreuses marques de liquides en drop shipping, ce qui nous donne beaucoup de souplesse et des tarifs avantageux.
Comment envisages-tu l’avenir ?
J’ai ouvert quatre boutiques en sept ans, je vais attendre un petit peu avant l’ouverture d’un cinquième point de vente. J’ai dix salariés, ça demande quand même pas mal de travail (sourire), en particulier au niveau du management et de la formation. Il faut accompagner les fumeurs dans leur sevrage tabagique. C’est important et ça prend du temps.
Pour devenir un franchisé indépendant Cigaverte : https://www.cigaverte.com/content/27-franchise