Lieux publics : et si on y autorisait la e-cigarette ?
Un débat s’il en est, la e-cigarette et son interdiction dans les lieux publics ne fait pas réellement l’unanimité, que ce soit du côté des consommateurs que des professionnels.
Effectivement, nous pouvons lire ici et là, au gré des pages internet, certains mécontentements. Mais là où une personne dira que c’est une évidence d’interdire la cigarette électronique dans les lieux publics, d’autres trouveront divers arguments pour réfuter cela. Et on arrive bien entendu à un véritable imbroglio d’idées qui n’aide absolument pas le lecteur, le consommateur ou le potentiel intéressé à se faire idée.
Reprenons donc point par point, les pour et les contre de la cigarette électronique dans les lieux publics. Evidemment, outre l’aspect de recherche, il y aura dans ces points quelques avis personnels, n’hésitez donc pas à laisser vos commentaires en fin d’article pour y donner les vôtres.
De nombreux avis donc qui ne donnent pas vraiment de point de vue précis. On y parle de la santé, de la notion de désagrément pour l’entourage,… Des raisons qui restent étonnamment identiques à celles évoquées pour la cigarette classique. Dangereuses et nocives, celles-ci n’ont été que très récemment interdites dans les lieux publics après plus de 50 ans d’existence. La jeunesse de la e-cig et ses réelles implications au niveau médical sont encore floues et en font un produit qui ne mérite pour le moment pas de polémique. Il est encore trop jeune, immature et les débats amènent souvent une certaine stérilité au vu du peu de choses que l’on sait vraiment. De nombreuses études ont été menées, des tests effectués, des produits consommés.
A l’heure actuelle, tout ce que nous pouvons dire, c’est que les fumeurs ont arrêté pour la majorité la cigarette et ont diminué leur absorption de nicotine. Ne doit-on pas voir là une bonne chose ? A savoir que la fumée de la cigarette électronique n’est absolument pas nocive. Il s’agit de vapeur d’eau le plus souvent parfumée.
Nous sommes loin de la cigarette classique et son odeur nauséabonde qui colle aux vêtements, de sa propension à donner mauvaise haleine, à jaunir ou à pourrir les dents,… Sans compter bien entendu les milliers d’euros qu’elle nous fait dépenser.